Dans le feu de tes yeux noyés dans l'eau morose d'une fin sans nom, au fin fond des marécages inondés par les édifices des édifices et des édifices dans le feu de tes yeux. J'arrête devant toi et silencieusement, avec toute l'émotion émotive de mes perceptions imperceptibles, je te crie et crie moi ta douleur, mon frère. Mon frère, frère et noyé dans l'eau morose de la musique au vin bleu, inondé par les édifices des édifices. Le garçon pleurait. Moi, avec toute l'émotion émotive du petit garçon petit, noyé dans les yeux de ton feu, comme si les marécages des édifices moroses et tes yeux bleus et je te crie moi ta douleur, mon frère. J'arrête devant toi et silencieusement, mon petit frère petit, tu sais que je t'aime et ceci est la fin sans nom qui sépare nos horizons pour les restreindre à nos tristes perceptions imperceptibles. Silencieusement, je t'aime.
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Commentaires :
Oui, ce commentaire n'égalera jamais la beauté de ton texte, mais j'espère que tu verras à quel point tu as du talent.