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Le suicide de Julie le clown

Sept fenêtres étaient routine près des chambres qui visitaient le soleil. La lune, plus grande que les escadrons du septième siècle, aussi grande que quelque chose de petit, n'étaient uniquement pas le paradoxe des vins qui baignent dans les piscines, les piscines ou la pluie, les, piscines comme la vie ou la pluie ensevelit les larmes et ou l'eau, encore l'eau, il ne sait pas où il va. Syntaxiquement incorrecte, logiquement incohérent dans l'abstrait et l'opposition des expressions, le mal ensevelit je ne sais trop quoi. Il n'avait pas besoin de comprendre où aller, il n'avait qu'à savoir qu'il allait quelque part. La destination n'avait aucune importance à sa tête. D'ailleurs, il ne pouvait critiquer les endroits, dû à la relativité absolue des notions. Tout pour lui semblait désordonné, même là où les gens percevaient un ordre éloquent. Les nuages au-dessus de sa tête, ceux qui n'étaient pas toujours dans le ciel, détestaient en forme de carré. Y avait-il un sens ? Lui-même n'en était pas certain, même s’il en était convaincu. Les paysages derrière lui commençaient à s'effacer et rien d'autre, jamais, ne pourrait le dissuader d'aller se pendre dans le fin fond de son réfrigérateur.

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Ecrit par psychocold, le Jeudi 2 Novembre 2006, 07:10 dans la rubrique Aléatoire.