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Samedi (30/08/08)
Pèlerinage online

S'enclenchent ainsi les gyrophares et meurt l'enfant enflammé du ventre de sa mère. Il dut s'en sortir pirouettant par la fenêtre de l'hôpital, écoeuré par les perfusions et les chansons suicidaires de printemps morbides. C'est dans la caverne de l'encensé qu'il trouva refuge et c’est d'ailleurs l'endroit où il finit sa vie. Il se dit à haute voie : l'article du 29 août 2008 c'est vraiment rien et rien c'est bien dit ; dans le but de se faire entendre des apôtres de l'encensé ? Il se téléporta direction la pyramide électronique et prit la décision d'effacer l'article du 29. J'écoute Xavier Rudd - Fortune Teller. Le grand sage venu le rejoindre, mille et une larmes sur le bord de son oeuoeuil puis ouvrit la bouche, disloquant ainsi sa mâchoire tendue, et lui répondit sagement : L'effacer serait remettre en question le sens fondamental de tous les autres qui en font une entité. Se censurer est la première barrière qui mène au mutisme. L'élu ne comprit rien et se dit que le grand sage devait être fou. Il descendit la pyramide et se dit qu'en bout de ligne l'article du 30 donnerait un sens à celui du 29 et ainsi ira la vie.

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Ecrit par psychocold, à 21:10 dans la rubrique Aléatoire.
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Vendredi (29/08/08)
Elly Jah et ses pas en nos chemins

Syllabes de bouches d'enfants, d'eau et de contrées et été et la saison à scier aux quatre pieds de la montagne. Ténèbre l'éclipse de Dandride aux sept mélodies - FISH DEAD - la banquette et les jus de raisin. S'essuient les mandibules le requin (les poissons) à l'orée des portes du centre d'achat, salivant autant comme le vent puis de papillons misère et pâtés de parents-grand mégalomanes. Boum quand dans les portes. Boum quand dans le ventre des pauvres et Bang Bang sur son nom de fichier. Élodie n'était pas rose. Bang Bang crie le ventriloque. Je suis Klenex l'Hébreu et je pleure tellement que je pleure. Dans les posters, dans l'auvent au-dessus de Suikoden et glisse Lobello chez Panasonic Spectrum. Je suis Mistachio Shisha Soeurette et vous, m'accordiez-vous cette Fender Stratoblender ? Where there's smoke, there's poison.

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Ecrit par psychocold, à 23:11 dans la rubrique Aléatoire.
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Jeudi (02/11/06)
Le suicide de Julie le clown

Sept fenêtres étaient routine près des chambres qui visitaient le soleil. La lune, plus grande que les escadrons du septième siècle, aussi grande que quelque chose de petit, n'étaient uniquement pas le paradoxe des vins qui baignent dans les piscines, les piscines ou la pluie, les, piscines comme la vie ou la pluie ensevelit les larmes et ou l'eau, encore l'eau, il ne sait pas où il va. Syntaxiquement incorrecte, logiquement incohérent dans l'abstrait et l'opposition des expressions, le mal ensevelit je ne sais trop quoi. Il n'avait pas besoin de comprendre où aller, il n'avait qu'à savoir qu'il allait quelque part. La destination n'avait aucune importance à sa tête. D'ailleurs, il ne pouvait critiquer les endroits, dû à la relativité absolue des notions. Tout pour lui semblait désordonné, même là où les gens percevaient un ordre éloquent. Les nuages au-dessus de sa tête, ceux qui n'étaient pas toujours dans le ciel, détestaient en forme de carré. Y avait-il un sens ? Lui-même n'en était pas certain, même s’il en était convaincu. Les paysages derrière lui commençaient à s'effacer et rien d'autre, jamais, ne pourrait le dissuader d'aller se pendre dans le fin fond de son réfrigérateur.

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Ecrit par psychocold, à 07:10 dans la rubrique Aléatoire.
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Lundi (30/10/06)
Grosses de belle fromajeune

Dans les forêts, deux heures avant la bombe circulaire, dans la pénombre de ma cour se trouvait un vieillard qui archivait ses victimes par ordre chronologique. James Color était le plus grand des quatre sans plus que jamais n'eu été moins petit l'édifice des surfaces de Panasonic. Autrement dit, en brevetant l'idée précédemment citée, nul n'aurait eu la chance, jamais en cent ans, de voler son meilleur ami. Les enfants, dans la pénombre de ma cour, mourraient un après l'autre, tuer par le vieillard qui portait le même nom que sa mère. Son nom, Kata d'Arizon 13, comme à la mode des jeunes qui sont grosses sont trop online quand leurs mères se tartinent de chocolat pour leurs pères. Peu-importe les couleurs du ciel de ce jour, l'instant est mémorable et encore mémorable. Quelle est la meilleur façon d'observer la mort de son ami avec le sourire aux lèvres ?

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Ecrit par psychocold, à 21:28 dans la rubrique Aléatoire.
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Vendredi (27/10/06)
Martin le matin qui s'appelait (M)et/ou(m)arin

Ruelles psychédéliques des reliques, ruelles psychédéliques, lorsque je vois par la fenêtre, les fenêtres dont ton père était un marin par la fenêtre. Le chien de mon voisin saute par ma fenêtre et tente de manger mon portable. De toute façon, ça m'est égal, car je n'ai pas de portable. Le matin et le soir lorsque je vois que ton père est un marin le matin. Il s'appelle parfois Martin le matin, mais il est surtout un marin le matin. Les marins le matin ne s'appellent pas tous Martin le matin. Donc, dans ces circonstances, vous comprendrez que tous les Martin le matin ne sont pas nécessairement marins le matin. Donc, le matin marin, donc, Martin le matin est marin lorsque Martin = marin + 2 matins. Cette belle histoire, l'histoire.. Cette histoire, l'histoire, hélas et de toute évidence, n'en est pas une. Demandez à Martin le matin qui était marin ! Il ne saura probablement pas quoi vous répondre, alors ne lui demandez pas. À moins que vraiment vous en ayez envie, mais ce sera inutile. Ou peut-être pas. Rien ne coûte d'essayer, ou peut-être pas.

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Ecrit par psychocold, à 19:10 dans la rubrique Aléatoire.
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Jeudi (26/10/06)
Avant-garde pour garde à vous

Trois milliards de mètres et des Portugais assoiffés de parfums pour femmes enceintes dans les contrées lointaines de la Nouvelle-Zélande ou s'égare la grande dinde qui tente de bien parler en beurrant ses tartines ou styles beaux rôties, vous voyez le genre ? Beurrage épais de diplomatie. Mais n'inamuscule pas trop les fins de jours en se déguisant en prostituée russe qui dégringole la célébrité comme il devient fou après s'être drogué comme Syd Barrett. Le psychiatre analysait ce blog et tentait d'assembler les pièces du puzzle inexistant. Il y a un puzzle ? Mais où veut en venir ce singe quand il grimpe prés de l'arbre, prés de l'arbre et des arbres dans la cour d'église ? C'était une genre de zoothérapie pour vieilles folles et déjà dis et acrobatie quand nécrophilie rencontre site de lesbiennes qui s'embrassent. Je me suis donc rendu à Berlin, la tête pleine de fraises, et j'ai fait ce théâtre de lumière et de rédemption pour attardés constipés avant d'avoir envie d'écrire ici jusqu'à la toute fin de ma resplendissante et morne existence. Comme celle de mon existence sans comme celle.

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Ecrit par psychocold, à 23:29 dans la rubrique Aléatoire.
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Lundi (18/09/06)
Trois rois morts dans le pré

Miss café est la fée des trépieds marbrées, perchée sur le toit noir des hommes en noirs qui écoutent des films pornos à longueur de journées, chantent ton nom à chaque matin pour te tuer deux jours avant. Celui-ci, à peine plus grand qu'une montagne de salon aux diverses hauteurs, disparaît souvent en écrivant un testament dans lequel est écrit sept démarches pour se suicider sans laisser de traces. Mais, je ne suis tout de même pas un grand batteur de meubles qui me battent qui... après le ski, j'ai préféré aller boire une tasse de café. Elle était répugnante. J'ai bu la tasse et j'ai laissé le café. Dès lors, exhibant mon torse bombé, je traversais les rues du quartier en accostant les vieilles dames que je tuais apres leur avoir parlé d'amour. C'était typiquement le comportement d'un jeune garçon qui était jeune. Hélas, les lilas ne fleuriront encore qu'une quarantaine de fois pour moi, alors autant en profiter. Qu'en pensez-vous ? Vous, à qui je ne demande pas l'avis.

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Ecrit par psychocold, à 23:01 dans la rubrique Aléatoire.
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Samedi (27/05/06)
Un colibri perché dans mon cerveau

Les lévriers qui se lavaient dans les rues mortifère de St-Jilo Gibo, près des hauteurs vertigineuses qui transportent dans l'autre monde, s'étaient métamophosés en musique électronique un peu trop étrange pour son père fermier. La moustache mauve du plombier qui avaient souvent peur des souvent peur des avoir comme chat. Par contre, en prenant l'autobus le samedi matin en mangeant du bacon, c'est toute autre chose. Je crois qu'il, comme il veut grandir dans son chêne immense qui rebute les toits d'Irlande, j'ai décidé de lui offrir un cadeau sexuel. La moustache mauve du plombier fut allée être tombé dans l'évier qui ne fut être avoir été jamais déjà débouché. Ce soir était triste eut été triste, on pu entendre les pleurs réconfortant des oies à ailes bleues se faire décapité par un idolâtre de Dimmu Borgir. J'étais au trois cent soixante zezième ciel.

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Ecrit par psychocold, à 19:53 dans la rubrique Aléatoire.
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Vendredi (19/05/06)
Le cyclopéen caméléon versicolore

L'homme mauve était parfois bleu et moi, embrassant la femme verte, je suis devenu rouge. L'homme rouge, c'est à dire moi, est devenu mauve en embrassant l'homme bleu, et le mauve, comme on le sait déjà, devient parfois bleu après avoir embrassé l'homme mauve. La femme verte a, quant à elle, le pouvoir de transformer les hommes bruns en rouges et les rouges en verts. Donc, la femme verte devenait verte à force d'embrasser les rouges devenus verts qui embrassaient les hommes mauves qui devenaient bleus. Alors là, la femme mauve s'est fâchée et a embrassé l'homme vert qui est devenu orange en devenant mauve après être devenu brun. La transsexuelle transparente riait comme une truie, possédant entre ses mains un cyclopéen caméléon versicolore.

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Ecrit par psychocold, à 21:52 dans la rubrique Aléatoire.
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Jeudi (11/05/06)
Le magique poulet magique

J'ai besoin d'air lorsque tu passes près de moi avec ton manteau de cuir rose. Ce poulet avait des yeux et illuminait la nuit. Si tu savais combien de déserts j'ai parcouru sur ton cheval avant d'aller voir ta mère. Tu vois, il n'y a rien à voir et je ne vois rien, excepté ton poulet mangé par Rémi. C'est après la cérémonie pour aveugles que le petit Rémi, à peine sorti de son adolescence torturée par la critique, prit un revolver plongé dans un bassin ancestral où s'inspirent les grands peintres contemporains. Il passera un jour à l'acte, je le sais. Il mangeait du poulet avant d'aller voir sa mère qui a besoin d'air lorsque tu passes près de moi. Le poulet goûtait le poulet. Il remit le revolver dans le bassin, revêtit son manteau rose et parcouru les déserts les plus lointains sur ton cheval de poulets magiques. Il passera un jour à l'acte, je le sais.

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Ecrit par psychocold, à 01:04 dans la rubrique Aléatoire.
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